FAF_Violences en milieu scolaire : typologie, repérage précoce
« Un élève subit, de manière répétée, des violences verbales, morales ou physiques de la part d'un ou plusieurs autres élèves. Il est alors victime de harcèlement scolaire », infraction punie par la loi (1).
Il s’agit de violences se déroulant au sein de l’école, sur le chemin de l’école, ou encore qui sont liées à l’école mais en dehors de ses murs (ex : cyberharcèlement).
Les violences subies à l’école prennent des formes multiples (2) : violences physiques, violences verbales et psychologiques, violences à caractère sexuel, discriminations liées à l’apparence physique, au genre ou l’orientation sexuelle, à l’origine ethnique ou religieuse, au handicap ou aux troubles du comportement, cyberharcèlement.
La montée du cyberharcèlement, facilité par l’usage massif des réseaux sociaux, complexifie la détection et la prise en charge.
Les violences scolaires répétées demeurent un phénomène préoccupant en 2025, affectant directement la santé mentale et physique des enfants (3,4). Les médecins, généralistes comme spécialistes (pédiatres, pédopsychiatres, etc.), sont de plus en plus sollicités par les familles confrontées à des signes de souffrance scolaire (5) : somatisations, troubles du sommeil, anxiété, phobie scolaire, voire conduites suicidaires.
Le médecin est souvent le premier professionnel de confiance à qui l’enfant ou sa famille s’adresse.
Cette formation s’inscrit pleinement dans les priorités de santé publique, notamment la prévention des troubles psychiques précoces et la lutte contre les inégalités sociales de santé.
L’objectif général de cette formation est de renforcer les compétences des praticiens dans l’identification de ces violences. Outre leur typologie, il s’agira de préciser leur repérage précoce.
Il s’agit de violences se déroulant au sein de l’école, sur le chemin de l’école, ou encore qui sont liées à l’école mais en dehors de ses murs (ex : cyberharcèlement).
Les violences subies à l’école prennent des formes multiples (2) : violences physiques, violences verbales et psychologiques, violences à caractère sexuel, discriminations liées à l’apparence physique, au genre ou l’orientation sexuelle, à l’origine ethnique ou religieuse, au handicap ou aux troubles du comportement, cyberharcèlement.
La montée du cyberharcèlement, facilité par l’usage massif des réseaux sociaux, complexifie la détection et la prise en charge.
Les violences scolaires répétées demeurent un phénomène préoccupant en 2025, affectant directement la santé mentale et physique des enfants (3,4). Les médecins, généralistes comme spécialistes (pédiatres, pédopsychiatres, etc.), sont de plus en plus sollicités par les familles confrontées à des signes de souffrance scolaire (5) : somatisations, troubles du sommeil, anxiété, phobie scolaire, voire conduites suicidaires.
Le médecin est souvent le premier professionnel de confiance à qui l’enfant ou sa famille s’adresse.
Cette formation s’inscrit pleinement dans les priorités de santé publique, notamment la prévention des troubles psychiques précoces et la lutte contre les inégalités sociales de santé.
L’objectif général de cette formation est de renforcer les compétences des praticiens dans l’identification de ces violences. Outre leur typologie, il s’agira de préciser leur repérage précoce.
Pour qui?
Médecins spécialistes en médecine générale et médecins d’autres spécialités concernés par la problématique traitée